Sensation forte pour petits trouillard. [ Mish' & Nick]

Il était tard, je n'arrivais pas à dormir. Pourtant c'était mon premier jour ici, j'aurais du trouvé le sommeil depuis longtemps. Mais quelques chose dont j'ignore le nom ce passit. Je crus d'abord entendre tard dans la nuit des cris. Puis des sanglots, de plus en plus intense et douloureux. Je ne vais pas dire que je n'ai pas eu peur, avant de décider de bouger de mon lit, je me suis retourné une centaine de fois, et j'ai fais les cents pas. Pourvu que ce ne soit rien, j'avais l'air totalement dépassé par les événements. Dans mon ancien lycée, je n'avais jamais rien entendu de pareille, il paraissait que le chateau était hanté, ou un truc dans le mêm genre. On raconter des légendes urbaines les unes les plus effroyable et horrible que les autres. Pourquoi aurais je peur ? Peut être parce que depuis la disparition de Joe ici, et depuis la une des journeaux j'avais l'impression que quelqu'un nous épiais et ce jouais de nous. Je pris mon courage à deux mains, enfin le peu de courage que j'avais et quitta ma chambre. Je ne savais pas éxactement ou ce situé le grenier, mais marchis jusqu'à ce qui devait être un éscalier. L'endroit était sombre et il fesait froid. Je crus d'abord défaillir sur place puis ensuite tomber dans les pommes, mais rien de tous cela ne ce passa. Alors calmement je commencis à gravir les marches de l'éscalier. Il était en marbre, et les marches étaient froide, un frisson me parcouru le corps. Arrivé en haut, je fis face à une énorme porte en bois. Tous d'abor j'essaya de l'ouvrir mais je n'y arrivais pas, comme si la porte était bloqué. J'entendais encors les sanglots et les pleurs, j'étais à présent sur qu'il venait de cette endroit. Il y avait sur la porte, un espec ede balancoir, surement une sonnerie du moyenne age, je frappis alors avec, et comme par enchantement la porte s'ouvris.
Je recula d'abord, effrayé, et de loin je vis une silhouette. Je rentris et toute suite aprés la porte ce referma sur moi. La silhoutte était au milieu de la piece, par terre agenouillé. Elle sangloté de douleur. Je m'approchis d'elle, mais decida de rester un peu en retré.

- C'est toi qui pleur ?

J'étais à présenta dans le grenier, il fesait sombre et froid, et pourtant je croyais dur comme fer apercevoir une silhouette assis par terre poussant des gémissement à vous provoquer des frissons. Quand j'entendis derrière moi des pas sur le planché du grenier.

A qui tu parles ?

Je me retournis vers la voix qui venait de me poser une question, c'étais une fille. Elle semblait tous aussi perdu que moi, perdu car elle était appeuré. Avait elle entendu les mêmes cries et pleurs que moi ? Je ne savais pas quoi faire alors je fis signe en me retournant que je parlais à la silhouette qui étais au milieu du grenier. Mais quand en me retournant je la designa du doigt, elle n'y était plus. Etais ce un mirage ? un cauchemar ?
"Mince, jelle était la il y a deux secondes...."
je me retournis vers la fille qui était en face de moi et commenca à beggayé.

- Je...je...comprend pas, il y avait une fille là il y a à peine deux secondes. Elle semblait bouleversé et pleuré toutes les larmes de son corps.

Je n'étais pas sur de ce que j'avais vu auparavent, pourtant j'y croyais dur comme fer. Il ne pouvait y avoir qu'elle ici, sinon aurais je rever tous cela ? Mais comment ce fesait t'il qu'il y avait une fille à cette heure dans le grenier ?
Bizarre tous ca.....

- J'ai du te reveiller en arrivant au grenier ?

Ce fut la seul explication logique qui me parvint dans mes neuronnes.

Il n'y avait rien ici, je n'ai pas entendu de pleur, je crois que ton imagination te joue des tours !

A ces mots, je cherchis encors dans la piece une preuve qu'elle était là. Je m'avencis et doucement parcourus tous le grenier, mais je ne pus trouver aucune trace de cette silhouette qui pleurait. Elle devait me prendre pour un fou alors quand je me raprochis d'elle j'haussa les épaules, comme pour dire que je ne savais plus, pas...Je doutais de ce que j'avais vu et pourtant tous me semblait bien réel, jusqu'aux sanglots qu'elle laissait échapper à cette silhouette dans le milieu de la pièce.
Je dois haluciner...Qui sait, ce chateau est bizarre, je ne devrais pas m'en faire.

Tu as surement raison...

Je me passis la main dans la touffe de cheveux brune que je possedais, je n'étais pas à l'aise, croyant toujours à la présence de cette ombre.

J'ai beaucoup trop d'imagination, et le lieu ce préte un peu au jeu.